
Famine et massacres à Gaza
L’ONU a officiellement déclaré ce que tous le monde criait si fort : la famine à Gaza, une première au Moyen-Orient. Selon le système IPC (Integrated Food Security Phase Classification), 514 000 personnes, soit près d’un quart de la population, sont en situation de famine, et ce chiffre pourrait atteindre 641 000 d’ici fin septembre. Le rapport qualifie cette situation de « catastrophe entièrement provoquée par l’homme » .
Depuis le début du conflit en octobre 2023, plus de 40 000 civils Palestiniens ont perdu la vie, dont une majorité de femmes et d’enfants . Des experts appellent à tenir compte des décès « indirects ». Depuis un an, la situation sanitaire s’est considérablement dégradée à Gaza.
La violence d’ Israêl toujours en cours, le manque d’eau potable, de nourriture, de soins, la destruction des infrastructures hospitalières et les déplacements de population conduisent inévitablement à des morts supplémentaires.
Une lettre, publiée en juillet, dans la revue médicale britannique The Lancet estime que ce conflit pourrait causer la mort de 186 000 Palestiniens : sur les 2,3 millions d’habitants recensés en 2022, cela représenterait 7,9 % de la population totale de Gaza.
A l’échelle de notre pays , 5,4 millions de Français sur 68 millions mourrais dans ce conflit
Quartier Libre appelle à un cessez le feu immédiat et sans condition, l’arrestation de tous les responsables, directs ou indirects, de cette tragédie : dirigeants israéliens, complices internationaux et responsables français, à commencer par Emmanuel Macron, dont le soutien militaire et diplomatique à Israël contribue à cette situation.
Comme le disait le poète palestinien Mahmoud Darwich :
“Si je meurs, je veux être enterré dans ma terre, car c’est là que je suis né. » Il est temps de rendre justice à Gaza et de mettre fin à l’impunité.“
📢 Quartier Libre lance un appel à la mobilisation :
“Fin de l’impunité et justice pour Gaza”
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